TOURDIAS Jean
Tourdias Jean Michel Marius
Numéro matricule du recrutement : 693
ETAT CIVIL
Né le 8 août 1893, à Arc sur Tille canton de Dijon-Est, département de la Côte-d’Or, résidant à Arc sur Tille, canton de Dijon-Est, département de la Côte-d’Or, profession de cultivateur. Fils de Benoit et de feue Recoque Françoise, domiciliés à Arc sur Tille, canton de Dijon Est, déoartement de la Côte-d’Or.
DECISION DU CONSEIL DE REVISION ET MOTIFS
Inscrit sous le n°131 de la liste du canton de Dijon Est.
Classé dans la 1° partie de la liste de 1913.
SIGNALEMENT
Cheveux gris, yeux bleus foncés, front moyen, nez rectiligne et long, visage allongé.
Renseignements physionomiques complémentaires : menton fuyant.
Taille : 1 mètre 67.
Degré d’instruction : 3.
DETAIL DES SERVICES ET MUTATIONS DIVERSES
Incorporé à compter du 26 novembre 1913. Arrivé au corps le dit jour. Passé au 27e régiment d’infanterie le 23 décembre 1913. Classé dans le service auxiliaire par la commission spéciale de Dijon, le 15 avril 1916, pour « perte de substance osseuse région frontale gauche (blessure de guerre). Passé au 13e régiment d’infanterie (garde des prisonniers de guerre) le 20 mai 1916. Maintenu service auxiliaire par la commission spéciale de réforme de Dijon le 20 juillet 1916 (loi du 17 août 1915). Reconnu « Inapte définitivement à faire campagne » par commission spéciale de Dijon du 20 septembre 1917 pour : « perte de substance osseuse région frontale gauche (Loi du 10 août 1917). Décédé à Dijon à l’Hopital 71, le 25 novembre 1918.
ANTECEDENTS JUDICIAIRES ET CONDAMNATIONS
Condamné le 21 décembre 1912 à Dijon à 16 francs d’amende pour chasse sur route (sursis).
CAMPAGNES
CONTRE L’ALLEMAGNE : DU 2 août 1914 au 25 novembre 1918.
BLESSURES, CITATIONS, DECORATIONS, ETC.
Blessé, le 12 juin 1915 au combat du bois d’Aille, par éclat d’obus à la tête. Cité à l’ordre de la Brigade du 20 juin 1915, jeune soldat très courageux et de grand mérite, s’est distingué à plusieurs reprises dans les différentes opérations auxquelles a pris part la compagnie.
Source : archives départementales de la Côte-d’Or, cote R2500, vue 273/715.