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SAUNOIS Jules

Saunois
Prénoms : Félix
Surnom : Jules

Numéro matricule du recrutement : 1149

ETAT CIVIL
Né le 10 juillet 1883 à Arc-sur-Tille, canton de Dijon-Est, département de la Côte-d’Or, résidant à Arc-sur-Tille, canton de Dijon-Est, département de la Côte-d’Or, profession de cultivateur, fils de Félix et de Cadet Jeanne, Françoise, domiciliés à Arc-sur-Tille, canton de Dijon-Est, département de la Côte-d’Or.
S
N°2 de tirage dans le canton de Dijon-Est.

SIGNALEMENT
Cheveux et sourcils bruns, yeux bruns, front rond, nez long, bouche moyenne, menton rond, visage ovale.
Taille : 1 m. 67 cent.

Degré d’instruction :
Générale (1). 3.
Militaire (2). joue du violon

DECISION DU CONSEIL DE REVISION ET MOTIFS
Propre au service.
Compris dans la 1e partie de la liste du recrutement cantonal.

DETAIL DES SERVICES ET MUTATIONS DIVERSES (Campagnes, blessures, actions d’éclat, décorations, etc.)
Incorporé au 153e régiment d’infanterie à compter du 16 novembre 1904. Arrivé au corps et soldat de 2e classe le dit jour : numéro ministériel 8382. Soldat musicien le 11 décembre 1906.
Certificat de bonne conduite « ACCORDE ».

Passé dans la disponibilité de l’armée active le 12 juillet 1907.
Employé à la réquisition des chevaux les 4 et 5 août 1914.
RAPPELE A L’ACTIVITE – MOBILISATION GENERALE DU 2 AOUT 1914.
Arrivé le 6 août. Evacué glazé hôpitaux de l’Intérieur du 26 octobre 1918 au 20 mars 1919.

A accompli une 1re période d’exercices dans « Dispensé-Inondation »..
Loi du 19 juillet 1910.
A accompli une 2e période d’exercices dans le 27e Régiment d’Infanterie du 14 au 30 avril 1913.
Passé dans l’armée territoriale le 1er octobre 1917.

Proposé pour la réforme temporaire n°1 avec gratification, 7e compagnie 20 % par la Commission spéciale de Dijon du 21 mars 1919 pour « lésions parenchymateuses de la base du poumon droit ». Maintenu proposé par Réforme temporaire n°1 par commission spéciale de Dijon du 9 juillet 1919. Réforme n°1 et proposé pour une pension temporaire 95 % par la commission de Réf. De Dijon le 27 juillet 1920 pour « tuberculose pulmonaire bilatérale ».
Déjà Réforme Définitive (pension temporaire 100%) commission de Réf. De Dijon le 12 avril 1922. Déjà Réforme Définitive pension permanente de 100 %.
Commission spéciale de réforme de Dijon du 14 décembre 1922.
Décédé à Arc-sur-Tille le 21 mai 1929 (avis du 24 mai 1929).
Blessure : Ypérite le 25 octobre 1918 à l’Est de le Thour (Ardennes) :
Cité à la pension du régiment numéro 20 du 30 octobre 1918 « Brancardier courageux et dévoué, s’est signalé à plusieurs reprises en évacuant à découvert et sous le feu de l’ennemi des camarades blessés. Fait partie d’une équipe dont le sentiment du devoir et le mépris du danger ne se sont démentis à aucun moment pendant les dures journées du 4 au 8 octobre 1918. »

Croix de Guerre, étoile de Bronze

Source : archives départementales de la Côte-d’Or, cote - R 2430 - Vue 247/841.


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